Comme les vraies saisons sont lentes et comme les montagnes sont arides Comme les hommes sont présents sans sentir le flot de leur coeur Comme les vagues de la mer meurent les unes dans les autres pour produire une lueur à la crête de plus avides, Le poète écoute le Temps que inscrit très près de son coeur les traits de une plume de fer. Ce n´est point votre ouragan, mortels enrichis de moteurs, Ce n´est pas votre angoisse vide a la recherche du soleil différent d´une autre terre Ni vos discours sans verbe ni vos moribondes chaleurs, Qu´il sent dans le mouvement des nuits raccourcissant son erre. C´est ce qui le porte vivant à traverser au dernier jour une eau calme souterraine Et ce qui fleurira les arbres et dès après son départ poussera plus follement la harpe énorme des vents Ce qui soulèvera d´amour la vaste poitrine du sol quand l´etoile bleue de sa mort apparaîtra sur la plaine, Tout ce qui toujours pensera, miroir concave du firmament.
O generación de los enteramente peripuestos y enteramente incómodos, vi pescadores incursionando en el sol, con desaliñadas familias, vi sus sonrisas a plenos dientes y oí desmañanada risa. Soy más feliz que ustedes y ellos estaban más felices que yo; el pez nada en el lago y ni siquiera tiene vestuario.